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Ouai vous allez arrétez de trollé!!!A la fin, mes topic se retrouve toujours au parking...

lol

 

rassure toi !!!

 

si sa n'aurais pas été le tien , il serais déja au parking :icon_resolu:

 

parce que : PAS DE FAKE SUR XAVBOX

 

:whistling:

Edited by nino-xbox
et la putain de ligne d'édition qui s'affiche pour un putain de quote oublié :/siflote
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c'est normal !!!

 

ont est tous professeur de francais sur xavbox :IMSTP4:

 

ya que modératueuse qui doit ètre prof d'histoires !!!

car elle fait que des histoires et elle fait jamais de fautes :whistling:

 

:icon_resolu:

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Triplette de Belleville ?

Il faut remonter aux temps mérovingiens pour constater l’existence d’habitants sur ces hauteurs, que l’on nommait alors Savies. Plusieurs établissements religieux s’en partageaient la possession : les abbayes de Saint-Maur et de Saint-Magloire, d’abord ; plus tard, l’église Saint-Merri, le prieuré de Saint-Martin-des-Champs, celui de Saint-Lazare, la maison du Temple. Ils y avaient un autre intérêt que d’agrandir leur domaine : l’eau a toujours été rare à Paris, et la colline de Savies offrait l’avantage de contenir plusieurs sources captables.

 

À partir du XIIIe siècle, le nom de Savies est remplacé par celui de Poitronville. Une hypothèse serait que sans doute Poitron était le nom – fort roturier – d’un propriétaire du lieu. Au XVIe siècle, commence à apparaître la dénomination actuelle : Belleville, toujours accompagnée alors du qualificatif : sur sablon, pour la distinguer des nombreuses localités qui se décernaient un pareil brevet de beauté. Belleville – tout court – devient le nom usuel à dater du XVIIIe siècle.

 

Pendant dix 10 ans, de 1790 à 1800, Belleville eut l’honneur d’être chef-lieu du canton, puis redevint simple commune du canton de Pantin jusqu’à l’annexion à Paris en 1860. Cette mesure eut pour effet de diviser par moitié la population de l'agglomération. Trois barrières s’y ouvraient dans le mur d’enceinte qui tomba en 1860 : la barrière de Belleville, à l’entrée de la rue du même nom ; la barrière de l’Orillon, devant la rue qui reçut en 1867 le nom de Ramponneau, le fameux cabaretier de la Courtille ; enfin, la barrière des Trois-Couronnes, du nom que portait alors la section supérieure de la rue d’Angoulême.

 

ai-je soigné mon francais cette fois ci ???

 

PS: j'arrèter d'en écrire sinon je vais finir par la faire , la faute d'orthographe :icon_resolu:

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